On oppose souvent la technologie Hardion+, de modification de la surface, à celle des dépôts PVD, CVD, PACVD... le but étant de conférer à la surface une qualité souhaitée. Les différences tiennent tant au mode opératoire qu'à la tenue de la couche. 2 points fort là pour Hardion+ : délaminage impossible et gradient de dureté.
Il est des cas où une combinaison des deux est souhaitable : Hardion+ en préparation du substrat, afin d'apporter ce gradient de dureté, suivi par un le dépôt. On obtient ainsi un dépôt extrêmement dure qui repose sur un substrat dont la dureté s'est élevée vers la surface. Le tout donne un gage de bonne tenue : écartement du risque de fissuration de la couche dépôt et liaisons atomiques favorisées (énergie de surface).
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